Pourquoi les geeks dominent la culture populaire?
The revolution will not be televised.
La parution de la dernière bande annonce du film Black Panther, dont la sortie en salles est prévue pour février 2018, nous propose des nouvelles images de Wakanda, la cité fictive de l'univers Marvel. Jean-Michel Berthiaume, invité à l'émission « On dira ce qu'on voudra », profite de l'occasion pour faire une brève généalogie du mouvement afrofuturiste et de l'importance de ces représentations dans un cinéma mainstream.
Certains méchants des films ou BD de superhéros, comme le Joker dans Le chevalier noir ou Ultron dans le nouvel Avengers, veulent anéantir le monde plutôt que le conquérir. Leurs motivations doivent cependant demeurer vagues. «Il ne faut pas qu'ils soient très convaincants dans leur façon d'expliquer pourquoi il faut détruire le monde, sinon ça peut créer des problèmes philosophiques assez nietzschéens.»
Le colloque Off-CIEL est fier de revenir pour sa cinquième édition afin de proposer aux passionnés de la culture populaire une série de communications portant sur divers sujets éclectiques.
La diffusion du premier épisode de Star Trek en 1966 marqua la popularisation au petit écran d'un sous-genre littéraire déjà vieux d'un siècle: le space opera. Outre la poétique des voyages interstellaires et les scènes de combats galactiques, Star Trek épouse l'idéologie de la Guerre froide.
Tony Stark est de retour dans Iron Man 3, dont la sortie marque le 50e anniversaire du personnage conçu par Stan Lee en 1963. Antihéros, figure du «capitalisme quintessenciel» (dont la fortune est basée sur le commerce amoral des armes), il est, comme Gatsby et tant d'autres, un être fêlé. Déchiré entre les superpouvoirs de son corps-armure et sa personnalité romantique d'être blessé, il est un emblème du complexe militaro-industriel que dénonçait Eisenhower en 1961.
Chers amis, c'est le moment de gratter les fonds de tiroir.