Pop-en-stock vous offre un épisode qui s'écoute un peu comme le jeu du temps des fêtes qui consiste à déballer un cadeau à multiples emballages avec des mitaines de four. Roxanne et Megan déballent avec soin la complexité du récent Netflix's Holiday Movie Universe devant le regard ébahi de Jean-Michel Berthiaume.
À travers une analyse du roman Misery de Stephen King, Pop-en-stock se questionne sur la représentation des fans dans les oeuvres de culture populaire et sur la manière dont celles-ci conditionnent une certaine construction identitaire. Megan Bédard reçoit pour l'occasion Catherine Côté, Audrey Boutin, Charles Gauthier-Ouellet et Stéphanie Roussel.
Au moment où le très discuté film Joker bat tous les records de box office, nous nous arrêtons un moment en compagnie de Élisabeth Simpsons, Regis Pierre Fieu et Charles Gauthier-Ouellette pour discuter des enjeux politiques derrière la création de Todd Phillips.
Megan et Jean-Michel reçoivent Christopher Chancey, président et D.G. de Manavoid Entertainment, administrateur du C.A. de la Guilde des développeurs de jeux vidéo indépendants du Québec, Breaker of Chains, Mother of Dragons et co-organisateur du MEGA-MIGS 2019, la plus grosse convention de jeux vidéo indépendants québécois à Montréal. On prend le pouls de l’industrie vidéoludique québécoise et on discute de l’importance de tels événements pour le rayonnement de ces objets culturels dans les médias mainstream.
Maintenant que poussière et cendre sont retombées sur King’s Landing, Pop-en-stock fait retour, pour une deuxième fois, sur la finale de la série Game of Thrones. Pascale Laplante-Dubé, Élisabeth Simpson, Regis Pierre Fieu et Éric Maziade reviennent sur l’analyse éthique et écologique de l’univers créé par George R. R. Martin et soulignent la portée politique des récits de fantasy.
Remake, reboot, franchises, grandes compagnies, profits, produits dérivés : le langage de la culture populaire de masse a toujours allié fiction, imaginaire et industrie. Megan, Jean-Michel, Catherine et André-Philippe discutent en profondeur de la manière dont les exigences des marchés influencent la manière dont nous créons et consommons la fiction aujourd’hui.
Paul Thomas Anderson appelle ONCE UPON A TIME...IN HOLLYWOOD le film le plus joyeux de la filmographie Tarantinienne, et ce n'est pas peu dire, le plaisir ne fût que rehaussé par l'équipe de Pop-en-stock qui vous offre une conversation animée portant sur le tout dernier film du fameux QT. Megan, André-Philippe, Élaine, Boris et Jim discutent des points saillants du film (autant diégétiques qu'extradiégétiques), la référentialité générique dans les oeuvres de Tarantino ainsi que les questions entourant la nostalgie morbide.
