Philosophie

L'amour dans les jeux de séduction télévisés

Soumis par Catherine Daoust le 05/02/2015
Catégories: Philosophie

Contrairement à la culture élitiste réputée pour s’adresser à une population particulièrement instruite, la culture de masse revêt une connotation péjorative pour ce qu’elle n’exigerait aucun bagage culturel approfondi pour être appréciée. Accessible à tous par le biais des médias, il semblerait que la culture de masse ait connu un essor important avec l’avènement de la télévision et du cinéma hollywoodien des années 1930.

L'espace crépusculaire

Dans cet épisode, Antonio Dominguez Leiva discute avec Mehdi Achouche, Elaine Després, Régis-Pierre Fieu et Hélène Machinal de l'imaginaire de plus en plus crépusculaire et mortifère de l'exploration spatiale, du moins telle que la représente le cinéma, les séries télé et les jeux vidéo depuis le

Des Autres au service de l'espion

Deux espions de camps farouchement opposés et pourtant liés par le même modus vivendi: suivre les règles d’un jeu dont ils ne sont que les pions. Le fameux Max est, le temps d’un épisode, le jumeau maléfique d’OSS 117, le grand espion de la C.I.A. aux lointaines origines françaises. Cet as de l’espionnage a été le meilleur agent de M. Smith de 1949 à 1992 et dans plus de 240 épisodes. Née de la plume de Jean Bruce, l’écriture est devenue une affaire de famille puisque le flambeau a été repris par Josette, sa femme, en 1966 puis par ses enfants Martine et François en 1987.

Le Dinosaure que donc je suis? Évolutions et réécritures des rapports inter espèces (XIXe – XXIe siècles)

 

Par définition, est «dinomaniaque» toute personne qui est obnubilée par les dinosaures. Cette passion dévorante est d’une telle ampleur qu’elle finit par modifier celui qui en est touché dans son être et par le caractériser; on ne naît pas dinomaniaque, on le devient.

Ce constat, qui fait état d’une affection accompagnée d’une (re)configuration de soi par l’autre, n’est pas sans rappeler la passion que Jacques Derrida portait pour l’animal, dont témoigne la publication à titre posthume de L’Animal que donc je suis.

Attention! Ce hackeur est un panda!

Anarchopanda est un hackeur. Pas parce qu’il fait partie d’Anonymous, pas parce qu’il répand des virus informatiques, et pas non plus parce qu’il pirate la musique de Britney Spears. Le professeur de philosophie, devenu la coqueluche du mouvement étudiant dans son costume de panda, est un hackeur parce qu’il manipule du code.

Anonymous ne sont pas des hackeurs (et pourtant…) Partie 1: L'utopie pirate

Le nom est sur toutes les lèvres, se retrouve régulièrement sur toutes les unes: Anonymous, ces pirates informatiques, ces hackeurs. Or, il suffit d’y regarder d’un peu plus près pour constater que les Anons cadrent mal sous les définitions usuelles du pirate ou du hackeur informatique. Les journaux eux-mêmes ont fait leurs devoirs: ils parlent de moins en moins de piraterie ou de hacking et de plus en plus de cyberattaques et d’hacktivisme. Toutefois, nous allons amorcer ici l’exploration de tangentes récemment ouvertes qui permettent, au prix d’une révision à la hausse de ces termes, d’affirmer que les Anons sont en effet des pirates et des hackeurs, mais pas de la façon, ni pour les raisons, qu’on croyait.

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