Tarzan fête ses 100 ans
Tarzan a 100 ans en 2012. Après les 27 romans et les 42 films qui lui ont été consacrés, sans compter les 1200 bandes dessinées parues depuis 1929, comment peut-on encore porter un regard neuf sur le phénomène?
Tarzan a 100 ans en 2012. Après les 27 romans et les 42 films qui lui ont été consacrés, sans compter les 1200 bandes dessinées parues depuis 1929, comment peut-on encore porter un regard neuf sur le phénomène?
Retrouvez Antonio Dominguez Leiva dans un spécial de l'émission de Jean-François Nadeau «C'est une autre histoire» consacré aux chasses à l'homme, l'esclavage en Nouvelle-France, l'histoire de la chasse au Québec et la chasse dans le roman policier...
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Créature fictive, le zombie? Peut-être, mais ils sont parmi nous quand même, que ce soit dans le cinéma, la télévision, les jeux vidéo ou simplement dans la philosophie en cette époque de grandes avancées médicales et technologiques. Un colloque universitaire international se penchera donc sur la question très sérieuse des zombies du 5 au 7 juillet à l'UQAM. Deux organisateurs du colloque, Invasion Montréal, viennent nous en parler.
Dans le cadre de l’esthétique contemporaine du cadavre, peu de phénomènes ont semblé plus marquants, depuis Night of the Living Dead (G. A. Romero, 1968) que la surenchère transmédiatique et véritablement planétaire des morts-vivants. Si les années 90 ont été caractérisées par une sorte de «mort», ou à tout le moins de «stase», du zombie au cinéma, la créature, fidèle à elle-même, est réapparue de plus belle au tournant du nouveau millénaire et a maintenant envahi divers recoins de notre iconosphère globale.
Le colloque Désirs et délices, qui se tiendra à l'Université de Bourgogne les 13 et 14 décembre 2012, fait suite aux deux colloques organisés à Dijon, en 2004 et 2006, dont les Actes sont parus aux éditions du Murmure, respectivement en 2005 et 2008, sous les titres: Le Supplice oriental dans les arts et la littérature (dir. par Muriel Détrié et Antonio Dominguez Leiva), et Délicieux supplices: érotisme et cruauté en Occident (dir. par Sébastien Hubier et Antonio Dominguez Leiva).
Les Implications philosophiques lancent la deuxième saison de «l’été des séries».
L’oeuvre de Tolkien (1892-1973), située au carrefour de questions littéraires, génériques, critiques et théoriques, permet de croiser des interrogations qui possèdent une valeur exemplaire, en particulier à l’égard des relations entre la littérature et les imaginaires. Cette oeuvre permet aussi de questionner les rapports qui se sont tissés avec ses premiers lecteurs du groupe des Inklings et la critique.
Les productions de la culture médiatique et les fictions imprimées de grande consommation reposent sur des principes de communication qui mettent en jeu des logiques sérielles. Ce qui les caractérise est une tendance à appréhender l’œuvre à travers la médiation d’un ensemble plus vaste à partir duquel elle se conçoit. C’est bien un tel mécanisme que l’on peut repérer dans la décision d’écrire ou de lire une œuvre de genre (récit policier, d’aventures, de science fiction, etc.). C’est également dans cette perspective que se situent les auteurs qui choisissent d’écrire pour une collection éditoriale dominée par des contraintes fortes (genres, valeurs, formats, public, etc.).
Montréal, le 06 avril 2012. Le Show lapin a eu lieu au laboratoire de recherche NT2, le jeudi 5 avril. Plus de 40 personnes étaient présentent à l’UQAM et plus de 60 ont suivi la retransmission en ligne sur le site de l’Observatoire de l’Imaginaire Contemporain ainsi que sur Twitter. Pour terminer la journée des lapins, les membres du Rabbit Crew ont créé la surprise en se joignant au Show lapin.