Le Trône de Fer
Retrouvez-nous dans l'émission Plus on est de fous, plus on lit consacrée à la saga culte de George R. R. Martin.
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Le colloque Désirs et délices, qui se tiendra à l'Université de Bourgogne les 13 et 14 décembre 2012, fait suite aux deux colloques organisés à Dijon, en 2004 et 2006, dont les Actes sont parus aux éditions du Murmure, respectivement en 2005 et 2008, sous les titres: Le Supplice oriental dans les arts et la littérature (dir. par Muriel Détrié et Antonio Dominguez Leiva), et Délicieux supplices: érotisme et cruauté en Occident (dir. par Sébastien Hubier et Antonio Dominguez Leiva).
Les Implications philosophiques lancent la deuxième saison de «l’été des séries».
L’oeuvre de Tolkien (1892-1973), située au carrefour de questions littéraires, génériques, critiques et théoriques, permet de croiser des interrogations qui possèdent une valeur exemplaire, en particulier à l’égard des relations entre la littérature et les imaginaires. Cette oeuvre permet aussi de questionner les rapports qui se sont tissés avec ses premiers lecteurs du groupe des Inklings et la critique.
Les productions de la culture médiatique et les fictions imprimées de grande consommation reposent sur des principes de communication qui mettent en jeu des logiques sérielles. Ce qui les caractérise est une tendance à appréhender l’œuvre à travers la médiation d’un ensemble plus vaste à partir duquel elle se conçoit. C’est bien un tel mécanisme que l’on peut repérer dans la décision d’écrire ou de lire une œuvre de genre (récit policier, d’aventures, de science fiction, etc.). C’est également dans cette perspective que se situent les auteurs qui choisissent d’écrire pour une collection éditoriale dominée par des contraintes fortes (genres, valeurs, formats, public, etc.).
Art Cover des années héroïques, Roberto Succo, la Guerre des Mondes et polytextes...
Le nom est sur toutes les lèvres, se retrouve régulièrement sur toutes les unes: Anonymous, ces pirates informatiques, ces hackeurs. Or, il suffit d’y regarder d’un peu plus près pour constater que les Anons cadrent mal sous les définitions usuelles du pirate ou du hackeur informatique. Les journaux eux-mêmes ont fait leurs devoirs: ils parlent de moins en moins de piraterie ou de hacking et de plus en plus de cyberattaques et d’hacktivisme. Toutefois, nous allons amorcer ici l’exploration de tangentes récemment ouvertes qui permettent, au prix d’une révision à la hausse de ces termes, d’affirmer que les Anons sont en effet des pirates et des hackeurs, mais pas de la façon, ni pour les raisons, qu’on croyait.
Je ne me propose pas ici de faire une critique sauvage des membres d’Anonymous, j’aurais bien trop peur que mon ordinateur explose. Je ne voudrais pas non plus tourner en dérision l’emploi du masque de Guy Fawkes par les membres d’Occupy et autres Indignados, parce qu’il me semble se jouer là quelque chose de trop important pour le réduire, dans le rôle du vieux grincheux prématuré, à un effet de mode. Comme tout geek qui se respecte, cependant, je suis spontanément irrité lorsqu’une chose que je connais bien est recyclée à grande échelle par des gens qui, je le soupçonne, la connaissent moins bien que moi. C’est ce qu’on pourrait appeler le syndrome du t-shirt des Ramones.
Afin d'appuyer et de commémorer le printemps étudiant québécois, POP-EN-STOCK lance dans la stratosphère son dossier consacré à la politique de résistance telle qu'elle s'effectue aujourd'hui, au moyen de médias sociaux, d'attaques informatiques et de masques de Guy Fawkes. Un espace où réfléchir à la culture démocratique de la geek generation.
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